du 18 janvier au 22 février 2014
du mercredi au samedi de 14h30 à 19h
depuis une dizaine d’années un travail de déconstruction du signe écrit dans l’espace public, à mi-chemin entre poétique et signalétique. Sculpture, installation, photographie, dessin, chacune de ses productions active de façon sensible l’espace du texte et des idées. Les mots y sont souvent articulés dans des poèmes visuels aléatoires, ou des dispositifs aux formes élémentaires conçus pour des interventions en milieu urbain, des expositions ou des scénographies.
Jean-François Guillon, né en 1965, vit et travaille actuellement à Paris.
Il a présenté son travail à l’occasion de nombreuses expositions personnelles (Le Granit, Scène Nationale de Belfort, la Maison de la Culture de Bourges et POCTB d’Orléans, la Galerie Artem de Quimper, l’Entrée 9 à Avignon, le CIPM à la Vieille Charité de Marseille…) ou collectives (« Chic Art Fair » à la Cité de la Mode et du design, la Galerie Dohyang Lee à Paris, la Galerie Interface à Dijon, le Lieu Unique à Nantes, la Médiathèque de Limoges, la Villa CaGeline à Nice…).
De 1998 à 2006, il codirige avec Jean-François Courtilat la galerie d’art contemporain Ipso Facto à Nantes. Il a aussi réalisé plusieurs expositions en tant que commissaire dont « Bancale » au POCTB d’Orléans en 2008, et « Obsédés textuels » à la galerie RDV de Nantes en 2011. Il a publié le livre « Choses lues », avec un texte d’Olivier Cadiot, chez Manuella Editions en 2008, et « Loges », photographies de la Cité de la Grande Borne, en 2013. Il travaille depuis 2006 avec le metteur en scène Didier Galas et a pris en charge la scénographie et les costumes de ses derniers spectacles présentés au Centre Pompidou à Paris, au Festival d’Avignon, et sur diverses scènes nationales.
Il a conçu la scénographie de l’exposition de jouets « Parade » présentée actuellement au Musée des Arts Décoratifs.